Loin, à l’autre bout de notre galaxie, se trouve un monde étrange ou des créatures farfelues côtoient de nombreux aventuriers. C’est dans ce monde haut en couleurs, au milieu d’une forêt que commence notre histoire.
Au cœur des bois noirs, un petit village de guerriers s’agite. Un jeune esclave est sacrifié au dieu Iop, poussé dans un puit sans fin.
On me pousse, je bascule, je tombe. Ma vie finira t’elle vraiment comme ça, moi jeune esclave sacrifié à un dieu sanguinaire par des iops idiot ? Non, je ne peut me résoudre à mourir, pas maintenant, j’adresse une prière à une déesse inconnue. Ma chute se prolonge, se pourrait-il que ce puit soit vraiment sans fin comme l’affirme ces iops idiot ? Soudain, je sent des mains serrants mes épaules, ma chute s’arrête, en relevant la tête je découvre qu'une sorte de chimère m’a attrapée et se dirige maintenant vers le haut du puit, cet homme, si l’on peut le nommer ainsi, a dans le dos de grande ailes de chauves souris qui battent l’air d’un mouvement régulier.
J’aperçois bientôt le ciel, nous sortons du puit, je vois défiler sous mes pieds des terres étranges de couleurs variées. Après quelques heures de vol l’étrange créature redescend et vient se poser au pied d’une falaise.
Cela fait bientôt 1 an que j’ai échappé à ma triste fin. Mon sauveur, qui est finalement plus homme que chauve-souris, se nomme Brumaire. C’est un homme incroyable. Malgré sa petite taille, il impose le respect et connaît un nombre incalculable de choses, plus ou moins utile, sur le monde. Durant cette année il m’apprit comment survivre sur cette terre hostile (pleine de dangers).
Un matin alors que le soleil ne s’était pas encore levé Brumaire vint vers moi :
-Macdore, je pars, dirige toi ver le nord et lorsque tu croisera quelqu'un choisit ton destin.
-Je ferai comme tu dis mais, pourquoi ce départ précipité ?
-Je ne peut rester plus longtemps, mon destin m’appelle, garde cette pierre, c’est mon cadeau d’adieu.
Il me tend une petite pierre gravée. Au moment ou je la prend il s’envole. A cet instant je sentis la solitude pesée sur mes épaules. Pourquoi m’a-t-il appelé Macdore ? Je n’ai jamais eu de nom…
Je pars vers le nord. Après quelques jours de marche j’aperçois enfin quelqu'un sur le chemin. Il est loin, je ne le voie pas bien, je croie qu’il m’a vu, je m’approche. Enfin je peu le voir. Horreur ! Cet homme si c’en est bien un, n’a pas de peau ; sa chemise entrouverte laisse apparaître des côtes d’une blancheur immaculée. Il dégaine une dague. Surpris, je tente de rebrousser chemin mais, il est rapide. Au moment où il abat sa dague je suis propulsé en arrière. A ma place se tien un homme, le corps couvert de tatouages. Il subit les coups du squelette sans broncher, puis il riposte, il décoche un formidable coup de pied dans les, magnifiques, côtes de son adversaire qui explosent littéralement en une nuée d’ossements. Encore hébété par tant de violence je ne vois pas l’homme approcher. Il me dit un mot « Sacrieur » puis il partit. Avant qu’il ne soit trop loin je l’entend tenir un curieuse prière : « Puisse le grand Brumaire avoir raison. »
Brumaire mon ami, à ma connaissance ce n’est pas un héros et il est tout sauf grand.
Après cet épisode, je décide de me renseigné sur ce qu’est un sacrieur. Au cour de mes recherches j’apprends que les sacrieurs appartiennent à un clan très ancien lié à une déesse. Les membres de ce clan tirent leur force de la douleur. J’apprends aussi que le plus grand temple sacrieur se trouve dans les provinces d’amakna. Je décide de me rendre dans ce temple pour tenter de m’initier à l’art sacrieur.
Après une bonne semaine de marche j’arrive devant le temple. A l’intérieur, au milieu de la pièce se trouve une immense représentation de la déesse. J’ai une intuition, je m’agenouille et pris la déesse de m’accorder une audience. Au bout d’un moment je sens une présence bienveillante s’infiltrer dans mon esprit :
-Macdore, que veut tu ?
-Je suis venu vous servir, je souhaite devenir sacrieur.
-Quelle bêtise, un homme tel que toi ne devrait s’agenouiller devant qui que ce soit. Sache que l’on ne devient pas sacrieur, on l’est ou on ne l’est pas. Macdore tu appartiens déjà aux sacrieurs. Suis ton chemin, deviens fort, pas pour toi, mais pour protéger les êtres auquels tu tien.
Une partie de moi-même s’éveille, mon passé me revient, mon village ravagé par les iops, les cris, la douleur.
Après cette étape, je m’entraîne sans relâche, perfectionnant les techniques sacrieur.
Désolé suite a la pause du forum j'ai bloqué tout les sujet et supprimé la suite de cette histoire.
Mac, sacrieur compulsif.
Lun 19 Avr - 12:38